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MON APPROCHE :
UNE APPROCHE INTÉGRATIVE 

L' «Approche Intégrale Transformatrice» que je propose est une approche relationnelle, dans un «lien sécure » authentique. Elle favorise le développement de l’amour de soi et du respect de soi afin de créer des liens riches et forts. 

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La relation D'accompagnement constitue le fondement de la relation( Steele, Boon et Onno van der Hart,2018). La théorie des facteurs communs de la relation d'aide suggère que les approches théoriques particulières ne jouent globalement qu'un rôle restreint dans l'amélioration de l'état des clients ( Steele, Boon, Onno van der hart,2018)

 

Il s'agit de développer votre plus grande liberté, liberté par rapport à vos limitations, liberté par rapport à la fragmentation, la partialité, et votre véritable complétude qui inclut et embrasse tous les aspects partiels de vous-mêmes et de votre monde, en une vie accomplie, globale et fluide. 

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Ma pratique  est avant tout intégrative, ce qui signifie qu'elle se nourrit de différents champs de connaissances . Cela a le mérite de permettre une dynamique, de ne pas figer les choses, et d'éviter toute forme de dogme.

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Mon travail s'est inspiré de nombreux courants de pensée,  je propose une transformation de la relation à soi-même qui remplace la honte, le dégoût de soi et des suppositions de culpabilité par une acceptation bienveillante  (Germer 2013).

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Les humains ont une organisation

psychophysiologique innée, appelée

le système d'engagement social

(Porges 1995,2004, 2011 ; Dana,2018),

qui nous aide à nous réguler afin que

nous puissions explorer notre monde

et bien nous connecter aux autres. 

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Dans une relation d'aide efficace on se concentre sur le processus du client et on travaille avec lui et la relation.  Nous pourrions dire que les capacités d'autorégulation propres au client seront notamment sollicitées par l'utilisation du modèle de pleine conscience, qui constitue à la fois le socle de la relation d'aide, de pleine conscience ( Kabat-zinn 2010 ; Stahl et  Golstein, 2013) de communication intentionnelle (Hendrix,2016).

 

Les personnes qui font preuve de plus d'autocompassion ont tendance à être plus heureuse, à éprouver plus de satisfaction et de motivation dans leur vie.Neff et Germer,(2020).

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Cet outil permettra au client - dans un premier temps avec l'aide de L'accompagnant - de reconnaître, nommer, accueillir et mettre un sens sur les différents parties de son psychisme, de faire l'expérience de son axe du  «Self» selon l'expression de Schwartz , relâchement des contraintes, et de décharger ses  fardeaux , qui sont à la source de ses difficultés.

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  « Apprendre à vous apprécier, vous et vos imperfections, vous donne

la résilience nécessaire pour vous épanouir. (Neff et Germer ,2020)»

 

Cozilino (2004),  fait référence à un accompagnant suffisamment bon. Ainsi, l'accordage de l'accompagnant avec son client est essentiel pour permettre un espace de lien sécurisant. Un thérapeute suffisamment bon est généralement caractérisé par la collaboration, l'intérêt et la compassion plutôt  que par la prise en charge. Il est à même de réfléchir avant d'agir. il a une bonne capacité de mentalisation ( Forgaty, 2014 ; Debanné, 2018) et d'harmonisation ou de syntonie ( Shore,2012; Siegel,2010). Cette approche implique donc le corps et l'esprit de manière très explicite, et nécessite l'engagement évident de L,accompagnant. 

 

Elle a notamment l'avantage par rapport à d'autres approches d'accompagnement de fournir des moyens habiles et précis, qui permettent la révélation de nos limitations  (incluant les écueils des approches dites spirituelles et méditatives) et  la libération de nœuds émotionnel à l'origine de la souffrance psychique et au-delà de la problématique énoncée  (bouddhisme) - dégageant ainsi l’Être de tous les "voiles" qui empêchaient le dévoilement naturel et spontané de sa nature véritable - lui redonnant alors accès à sa liberté, à son unicité, à sa singularité et à ses potentialités.

 comme nous l'enseigne le bouddhisme :

«L'autocompassion jaillit du coeur de la pleine conscience

dans les moments de souffrance. (Neff et Germer,2020)»

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